SANITAIRE
Le 15 avril dernier, en déplacement à Poussay dans les Vosges, Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, a présenté le plan national d’action « scolytes et bois de crise ».
Le 15 avril dernier, en déplacement à Poussay dans les Vosges, Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, a présenté le plan national d’action « scolytes et bois de crise ».
La vague de froid qui s’est abattue sur l’Hexagone la deuxième quinzaine d’avril a notamment impacté des vignes dans le Beaujolais. Premiers échos des conséquences du gel de printemps selon plusieurs viticulteurs.
Tous les vignerons de Bourgogne et du Beaujolais connaissent les quatre piliers obligatoires de la lutte contre la flavescence dorée : traitement à l’eau chaude des jeunes plants, traitement des cicadelles si risque il y a, prospection collective et arrachage des pieds infectés. Mais connaissez-vous le cinquième sur la liste qui est conseillé ?
Avec une récolte légèrement supérieure aux années précédentes, le cru se réjouit de la qualité de ses vins. En parallèle, diverses initiatives pour améliorer la communication s’organisent et les efforts se poursuivent côté sanitaire.
L’union territoriale de la communauté d’agglomération de l’Ouest Rhodanien (COR) a invité ses adhérents à une réunion d’information sur les haies le 17 avril à Saint-Clément-sur-Valsonne. Le pacte haie vise à développer la plantation de haies avec un objectif ambitieux de plus de 50 000 km d’ici 2030, offrant un taux d’aide de 100 % aux agriculteurs et autres bénéficiaires éligibles.
Lancement de l’opération Régnié en mai pour le cru, l’occasion d’organiser sa dégustation annuelle et de rassembler ses opérateurs pour un moment convivial.
La récolte de muguet, commencée le 12 avril, devrait atteindre les 60 millions de tiges dans la région Pays de la Loire, qui regroupe 95 % de la production française, indique la Fédération des maraîchers nantais dans un communiqué le 15 avril.
Selon un rapport de l’Institut de l’économie pour le climat remis au gouvernement le 5 avril, le coût de l’adaptation des principales cultures françaises au changement climatique serait de l’ordre de 1,5 milliard d’euros par an.