Accès au contenu

Un intérêt croissant pour l’agroécologie

Pour la deuxième édition, le Centre de développement de l’agroécologie (CDA) a choisi de modifier la formule des rencontres de la performance agronomique.

Par Cédric Perrier
Un intérêt croissant pour l’agroécologie
Konrad Schreiber, agronome des sols vivants, au contact des agriculteurs avec pour ambition de les inviter à une autre réflexion sur l'agriculture.

Si l’an dernier le rendez-vous avait rassemblé entre 300 et 400 personnes sur deux jours à Saint-Bonnet-de-Mure, l’édition 2020 est organisée sur quatre journées techniques dédiées à des filières spécifiques : grandes cultures, polyculture-élevage, arboriculture, maraichage et sol vivant. Mathieu Perraudin, responsable développement pour le CDA : « on a souhaité une approche plus approfondie des thématiques, car le sol fonctionne de la même façon pour toutes les cultures. Je ressens une dynamique autour de l’agroécologie depuis deux à trois ans, avec une prise de conscience pour un sol qui demeure un bien intergénérationnel. »  Lors du rendez-vous de Haute-Rivoire, deux intervenants ont bousculé les agriculteurs. Des intervenats pour faire bouger les lignes  « Il y a eu un effet électrochoc le matin avec Konrad Schreiber, agronome des sols vivants et Pierre-Emmanuel Radigue, vétérinaire, qui remettent en question le syst&...

La suite est réservée à nos abonnés.