Concours de labour : « Avec la sécheresse, faire de jolis sillons risque d’être compliqué »

Suivez-vous un entraînement particulier avant chaque concours ? « Mon père est très bon en labour, donc je m’entraîne avec lui avec une charrue 3 corps, qui fait partie de l’exploitation familiale. Je refais deux ou trois passages avant le concours pour bien régler ma charrue et j’utilise les techniques de labour traditionnelles. » Quels éléments font qu’un labour est jugé satisfaisant ? « Un bon labour doit être homogène, avoir une profondeur d’environ 20 cm où on ne voit pas les chaumes. L’idéal, c’est d’avoir une terre ni trop sèche, ni trop humide, qui se tient bien. Cette année, la sécheresse fait que cela risque d’être compliqué de faire de jolis labours. » Les exigences entre le concours départemental et régional sont-elles identiques ? « En concours régiona...