[Exclu web] Une spécialisation mixte « canine-rurale » pour multiplier ses chances
Pour mettre toutes leurs chances de côté, un pourcentage d’étudiants en école vétérinaire - qui reste encore très faible - choisit une spécialisation mixte « canine-rurale » en 5e année. Les stages tutorés leur permettent de pratiquer la rurale et de capter leur intérêt pour cette spécialisation.
![[Exclu web] Une spécialisation mixte « canine-rurale » pour multiplier ses chances](/media/iar/veterinaire_ville_copy_DR.jpg?fit=crop-center&p=w-sm,webp)
Droits réservés
Selon les chiffres relevés dans l’Atlas démographique de la profession vétérinaire 2021, 56,9 % des étudiants en cinquième année se spécialisent en animaux de compagnie, et seulement 21 % en animaux de production. Odeline Brisa, étudiante en 5e année au sein de VetAgro Sup à Marcy l’Étoile, a fait le choix d’une spécialisation mixte « canine-rurale ». «Au départ, je voulais m’orienter dans la spécialisation canine pure. J’ai toujours pensé que c’était mieux de se spécialiser dans un seul domaine. J’ai finalement changé d’avis en échangeant avec des vétérinaires diplômés. Les vétérinaires ruraux ont un esprit clinique très développé et c’est ce qui m’intéressait », déclare-t-elle. « Même si je ne fais pas de pratique rurale par la suite, cette spécialisation mixte va beaucoup m’apprendre. »
La suite est réservée à nos abonnés.